Il est tentant de tout intellectualiser quand on prototype. Chez nous, on commence par se poser la question clé : à quoi doit servir ce prototype ? Ensuite, il est souvent judicieux de faire appel à ses mains et à ses sens, pas seulement à son cerveau. Pour un prototype physique, cela peut être du carton, du bois ou même du métal. Nos ingénieur·es utilisent des modélisations 3D pour les prototypes numériques, par exemple pour simuler des flux ou calculer des forces. Pour les services digitaux, nous utilisons des jeux de rôle, des parcours clients ou des maquettes interactives.
Chez Creaholic, nous avons même fait appel à notre boucher local dans le processus ! Quand nous avons voulu adapter notre expertise du "bois soudé" à la médecine, on nous disait que souder des os comme du bois, c’était impossible. Pas satisfaits de cette réponse, nous avons acheté un jarret de porc chez le boucher et avons testé notre méthode. Résultat : ça a marché. Et c’est ainsi qu’est née la technologie BoneWelding.